La venue d’un bambin dans votre existence est cause de célébrations et de réjouissances dans la famille.
Vos grands-parents se rendent dans les magasins spécialisés pour obtenir le plus beau berceau.
Pour ce qui est de vos parents, ils s’occupent du mobile (sans oublier de vous demander votre avis) et du parc.
Le travail du conjoint : mettre la main sur une poussette sécuritaire qui s’adapte à votre véhicule (du moins, espérons-le).
Puis vient votre amie expérimentée – elle attend son troisième bébé – et elle vous suggère d’assurer la vie du nouveau venu.
Comment recevez-vous le conseil ?
Pour certaines personnes, une assurance pour son enfant est un incontournable, pour d’autres, un thème sans importance ou même tabou.
Pour quelles raisons faut-il réfléchir à cette assurance en bas âge ?
Premièrement, ne sautez pas dans les rideaux : votre amie n’entrevoit pas le départ de votre ange de quelconque façon.
Elle a prise le temps de vous en parler parce que votre enfant :
- Aurait avantage à être assuré. S’il devient malade, vous pourriez recevoir un montant pour rester auprès de lui.
- Aimerait probablement obtenir une police d’assurance toute payée à ses vingt ans. Cela lui enlèverait des soucis dans l’avenir.
- Pourrait dorénavant recevoir en cadeau une assurance vie d’une connaissance qui ne sait pas quoi faire pour l’aider.
Si le cadeau ne vient pas, combien êtes-vous prêtes à payer de vos poches ?
Bien de parents n’ont pas le temps de magasiner attentivement les assurances pour leurs enfants.
Ne tombez pas dans le panneau de souscrire à la première offre du premier représentant.
Cette erreur vous coûtera peut-être une fortune un jour : montant trop bas, clauses irréalisables, primes trop hautes, etc.
D’un autre angle, si vous remettez toujours à demain l’assurance de votre progéniture, vous pourriez vous en mordre les doigts.
Si l’inévitable arrive ; une maladie incurable ou une condition sévère ; l’assurabilité de votre enfant sera révolue.
Adieu vos économies ! Le revenu de votre conjoint vous tiendra-t-il à flot durant ces semaines dures passées à l’hôpital ?
Sachez qu’il y a une plus grande possibilité de mortalité au cours de la 1re année de votre bébé qu’après. Les tarifs proposés par les compagnies d’assurances vont normalement représenter ce risque accru.
Il existe néanmoins des polices d’assurance couvrent l’ensemble de la famille à partir de la naissance de bébé #1.
Proposition numéro 1 d’assurance vie au Québec pour bébé par l’Industrielle Alliance
Compagnie d’assurances : Industrielle Alliance
Nom du Produit : Programme Poupon
Détails de l’offre : Ceci est gratuit pendant un an. Vous y souscrivez facilement dans examen médical. Au moment de la signature, vous recevez une minidoudou en cadeau.
Proposition 2 pour une protection par Desjardins
Compagnie d’assurances : Desjardins Assurances
Nom du Produit : Assurance maladies graves
Détails de l’offre : Votre enfant est couvert pour une liste de 26 maladies graves + 6 maladies infantiles. Au diagnostic, une somme non imposable se dépose dans votre compte bancaire. Absentez-vous du travail pour rester avec lui.
Proposition 3 par L’Union-Vie pour assurer votre enfant
Compagnie d’assurances : UV Mutuelle
Nom du Produit : Assurance vie pour enfant – La Juvénile 30/100
Détails de l’offre : Si vous payez une modeste prime d’assurance de 15 $, vous pourriez recevoir 10 000 $ si votre enfant développe une maladie grave parmi une liste de 9. Dans le cas d’un décès de votre enfant, vous recevrez la somme de 100 000 $.
La difficulté de bien choisir le régime en assurance pour son bébé au Québec
Ce ne sont que 3 options disponibles au Québec parmi plusieurs.
Nous recommandons de faire appel à un courtier en assurance ou un conseiller financier pour faire le bon choix.
Il s’agit tout de même de la sécurité de votre enfant et la viabilité de la situation financière de votre foyer.
Bonne chance dans vos choix !